• Aujourd'hui Eric Schmidt, président de Google, a annoncé la vente de 42% de ses parts dans sa société, soit 3,2 millions de titres, pour un montant de 2,5 milliards de dollars. Motif invoqué "diversification et liquidité". Schmidt n'a pas vendu en pleine crise de 2008 ou de 2011, il vend maintenant, quand le titre est au plus haut, non pas progressivement mais brutalement, près de la moitié de ce qu'il avait dans Google, une société pourtant en pleine forme et fourmillant de projets dans des domaines très variés, de l'énergie renouvelable à la santé. Google est en soi un placement diversifié et sur lequel Schmidt a un poids important dans la stratégie. Pour quel autre type d'investissement éprouve-t-il le besoin de rendre liquide 2,5 milliards de dollars ? Les T-bonds à 10 ans de Bernanke ? De l'immobilier d'affaires ? Bien sûr que non. Il vend parce qu'il sait...

    La semaine dernière, le 6 février, UBS annonçait via Art Cashin qu'un trader avait pris une position sur le VIX à échéance avril, 150.000 contrats call de 75$, soit un montant de 11,25 millions de dollars de pari pour que le VIX dépasse les 20 points d'ici moins de 60 jours.

    Le même jour, le même type d'option, put cette fois (à la baisse), pour 100.000 contrats échéance 17 avril a été passé sur le tracker XLF SPDR Financial fund, un tracker sur le secteur bancaire américain.

    Les "insiders" savent quelque chose et derrière le discours on ne peut plus consensuel de l'ultra confiance dans les marchés actions dans un contexte de lévitation généralisée des indices, des gens bien informés se préparent à une débâcle...

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