• "Le saviez-vous? TOUTES les actions que vous "possedez" sont en fait en trust anglo saxon. Le VRAI propriétaire est le Depository Trust and Clearing Corporation (dont les vrais propriétaires sont les mêmes que la Federal Reserve qui, comme vous le savez, est privée et non Américaine). Les possesseurs des actions, sur papier ne sont en fait que les "bénéficiaries" (bénéficiaires du trust). En clair ils ne possèdent rien.

    C'est important car si quelque chose se passe (faillite de banque etc) vous vous retrouvez avec rien. "Ownership is 99% possession", or ownership ici c'est DTCC. Et d'après ce que je comprends cela inclut la FRANCE, eh oui, et le monde. C'est vicieux mais c'est la réalité. Comme les comptes en banques qui ne sont que des emprunts des banques aux particuliers, sans guarantie, alors que vous pouvez parier que les clients pensent que c'est "leur argent"... Mais non, c'est l'argent de la banque et c'est d'aileurs pour quoi les dépôts sont comptés comme assets de la banque, lire ici MingTV...

    Tout le systeme anglosaxon est sur le même modèle. Les propriétaires sont les banques, les dépositaires sont les cocus. Enfin sachez que toutes les sociétés financières, banques, etc, ont de succursales à Londres. Londres? pas vraiment: à la City de Londres, qui n'appartient pas à Londres, ni à la Couronne. Sa fonction? permettre à tout avoit financier d'etre rehypothéqué à l'infini. En clair: vous avez un compte à NY JPM, le compte, la nuit est crédité à la City, rehypothéqué, donc un emprunt dessus avec le compte comme guarantie, une fois, 2 fois, mille fois. L'argent est joué, au matin, NY est recrédité. Une boucle sans fin et légale. Un système virtuel." Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2014

    "Le saviez-vous? TOUTES les actions que vous "possedez" sont en fait en trust anglo saxon. Le VRAI propriétaire est le Depository Trust and Clearing Corporation (dont les vrais propriétaires sont les mêmes que la Federal Reserve qui, comme vous le savez, est privée et non Américaine). Les possesseurs des actions, sur papier ne sont en fait que les "bénéficiaries" (bénéficiaires du trust). En clair ils ne possèdent rien.

    C'est important car si quelque chose se passe (faillite de banque etc) vous vous retrouvez avec rien. "Ownership is 99% possession", or ownership ici c'est DTCC. Et d'après ce que je comprends cela inclut la FRANCE, eh oui, et le monde. C'est vicieux mais c'est la réalité. Comme les comptes en banques qui ne sont que des emprunts des banques aux particuliers, sans guarantie, alors que vous pouvez parier que les clients pensent que c'est "leur argent"... Mais non, c'est l'argent de la banque et c'est d'aileurs pour quoi les dépôts sont comptés comme assets de la banque, lire ici MingTV...

    Tout le systeme anglosaxon est sur le même modèle. Les propriétaires sont les banques, les dépositaires sont les cocus. Enfin sachez que toutes les sociétés financières, banques, etc, ont de succursales à Londres. Londres? pas vraiment: à la City de Londres, qui n'appartient pas à Londres, ni à la Couronne. Sa fonction? permettre à tout avoit financier d'etre rehypothéqué à l'infini. En clair: vous avez un compte à NY JPM, le compte, la nuit est crédité à la City, rehypothéqué, donc un emprunt dessus avec le compte comme guarantie, une fois, 2 fois, mille fois. L'argent est joué, au matin, NY est recrédité. Une boucle sans fin et légale. Un système virtuel." Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2014


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  • USA: nouvelle accélération de l'inflation sur un an en mai

    Washington (awp/afp) - L'inflation sur un an aux Etats-Unis a encore accéléré en mai pour le troisième mois consécutif, selon l'indice des prix associé aux dépenses de consommation (PCE) publié vendredi par le département du Commerce.

     

    La hausse des prix sur un an s'est élevée à 1,8% en mai après avoir atteint 1,6% le mois précédent et 1,1% en mars, selon les données du ministère.

     

    Elle se rapproche ainsi de l'objectif de la Réserve fédérale (Fed) qui est d'atteindre à moyen terme une inflation autour de 2% sur un an.

     

    La hausse en mai s'est concentrée sur les biens non-durables (+2,4%) et a été tempérée par la baisse des prix des biens durables (-2,1%).

     

    L'inflation dite sous-jacente - hors secteurs volatils de l'alimentation et de l'énergie - s'élève à 1,5% sur un an.

     

    Sur un mois, l'inflation a progressé au même rythme (+0,2%) pour le troisième consécutif.

     

    Par rapport à avril, l'inflation sous-jacente a elle aussi atteint 0,2%, conformément aux attentes des analystes.

     

    afp/rp


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  • UE: de nouvelles dettes seraient la pire erreur


    Berlin - Assouplir le pacte de stabilité et contracter de nouvelles dettes serait pour les pays européens la pire erreur que l'on puisse faire, a estimé mardi Wolfgang Schäuble, en plein débat sur la direction que va prendre l'Union européenne.

    Faire de nouvelles dettes serait la pire erreur que l'on puisse faire, a déclaré le ministre allemand des Finances dans un entretien à la radio Inforadio. 

    Tenez-vous en aux règles que nous avons décidées ensemble, ni plus ni moins, a plaidé le ministre à l'intention des partenaires de l'Allemagne dont un certain nombre, France et Italie en tête, aimeraient desserrer le corset des règles budgétaires européennes pour pouvoir investir plus et soutenir la croissance. 

    Dans une tribune publiée par le quotidien de centre-gauche Süddeutsche Zeitung ce mardi, le président de la Bundesbank Jens Weidmann adopte le même ton. C'est une douche froide de constater que, dès que la pression sur les marchés se relâche, surgissent du côté des politiques des demandes d'assouplissement des règles, a déclaré le banquier central. Nous n'avons pas besoin d'un affaiblissement mais d'un renforcement des règles budgétaires, selon lui. 

    Selon M. Schäuble, l'exemple de l'Allemagne, qui vise un budget fédéral à l'équilibre l'an prochain pour la première fois depuis 45 ans, montre que ça marche, que c'est possible de conjuguer discipline budgétaire et croissance économique. 

    Le débat sur les orientations budgétaires des pays européens est reparti de plus belle ces dernières semaines sur fond de marchandage sur la nomination d'une nouvelle Commission européenne. 

    Le confrère de M. Schäuble à l'Economie, le social-démocrate Sigmar Gabriel, a donné du grain à moudre aux partisans d'un assouplissement des règles en déclarant la semaine dernière en France qu'il fallait donner du temps aux pays décidés à mener des réformes. 

    La chancelière Angela Merkel s'est empressée de corriger le tir en affirmant qu'il n'y avait pas de nécessité de modifier le pacte de stabilité.

    Ce que M. Gabriel a pu dire en France est sûrement intéressant mais le conseil a lieu jeudi et c'est là que les décisions seront prises, a précisé M. Schäuble mardi, en référence à un conseil européen qui se tiendra en fin de semaine à Bruxelles. 


    (©AFP / 24 juin 2014 10h07)  


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  • Le CMO, qui réunit les plus grands producteurs d'or de la planète, précise que la première réunion aura lieu le 7 juillet à Londres.

     

     

     

    La FCA y assistera en tant qu'observateur et le CMO compte inviter des représentants des banques, des raffineurs, des produits d'investissements basés sur l'or, des banques centrales, des compagnies minières et des bourses.

     

     

     

    Suite à des discussions préliminaires avec les acteurs du secteur, le CMO dit avoir identifié cinq principes sur lesquels la réforme du fixing devrait se baser, parmi lesquels la nécessité de fonder cette référence sur de vrais échanges et non sur des estimations, sur des données transparentes et sujettes à vérification et sur un marché avec des volumes significatifs d'échanges.

     

     

     

    Ces discussions interviennent alors que le comité de trois banques chargé de fixer chaque jour le prix de l'argent a annoncé mi-mai l'arrêt de ce fixing à partir du 14 août.

     

     

     

    Deutsche Bank souhaitant également se retirer du fixing de l'argent, il n'y aurait ainsi plus eu que deux banques (HSBC et Bank of Nova Scotia) en charge de la fixation journalière de cette référence.

     

     

     

    afp/jh

     


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  • La dette argentine sanctionnée, la position du gvt inquiète

    18/06/2014 | 17:33

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    Les cours des obligations d'Etat argentines reculaient mercredi, les investisseurs ayant mal accueilli la proposition du gouvernement de Buenos Aires de placer sa dette restructurée sous le régime du droit local après une série de décisions judiciaires défavorables aux Etats-Unis.

    Le ministre de l'Economie, Axel Kicillof, a déclaré mardi que le gouvernement était en train de prendre des mesures lui permettant d'échanger les obligations de droit américain contre des titres de droit argentin, afin qu'elles ne soient plus soumises à la justice américaine.

    "Si une quelconque solution acceptable aux yeux du gouvernement n'est pas trouvée, l'Argentine ira prochainement jusqu'au bout avec un swap et un défaut", estime les analystes d'Eurasia mercredi. "Ce qui est plus difficile à évaluer, c'est à quel point le gouvernement est disposé à faire des concessions au bout du compte (et la crédibilité de sa menace)."

    Les obligations de droit américain d'échéance 2033 perdaient près de trois points à 70,688 cents vers 14h20 GMT, leur rendement montant à 12,8% selon les données Thomson Reuters.

    Lundi, la Cour suprême des Etats-Unis a refusé d'examiner l'appel de l'Argentine contre un jugement condamnant Buenos Aires à payer 1,33 milliard de dollars à des fonds spéculatifs qui avaient refusé les modalités de la restructuration de sa dette après le défaut catastrophique de 2001-2002.

    Si elle ne règle pas les fonds plaignants ou ne parvient pas à une solution négociée avant le 30 juin, l'Argentine pourra être déclarée en situation de défaut technique à l'issue d'un délai de grâce de 30 jours.

    Une nouvelle audience est prévue mercredi à 18h00 GMT à New York devant le juge américain Thomas Griesa, en charge du dossier, à laquelle participeront les représentants de l'Etat argentin et ceux des fonds plaignants.

    "Nonobstant l'incertitude élevée qui persiste, le fait que le gouvernement reconnaisse ouvertement que les discussions avec le juge Griesa sont en train de devenir une étape clé vers une solution définitive pourrait constituer un développement bienvenu", notent les analystes crédit de Deutsche Bank. (David Gaffen et Daniel Bases; Marc Angrand pour le service français)


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