• yellen pas l air bete ?

    Mi-décembre, la Fed a décidé d'abaisser de 85 à 75 mrd USD le montant des liquidités qu'elle injecte chaque mois dans le circuit financier pour tenter de fluidifier le crédit.

     

    A en croire M. Bernanke, Mme Yellen a "pleinement soutenu" cette décision qui avait pris de court les marchés et pourrait sonner pour eux le début de la fin de l'ère de l'argent facile.

     

    PRIORITÉ À L'EMPLOI

     

    Une fois installée à la présidence, Mme Yellen devra progressivement mettre un terme à ce dispositif sous l'oeil inquiet des marchés et de pays émergents qui redoutent un mouvement de fuite des capitaux hors de leur territoire.

     

    A plus long terme, elle devra accompagner la normalisation progressive de la politique monétaire et s'assurer qu'une future remontée des taux d'intérêts directeurs de la Fed, maintenus proches de zéro depuis fin 2008, se fasse sans heurts.

     

    "Il serait coûteux d'arrêter l'assouplissement monétaire trop tôt", avait-elle lancé à la mi-octobre lors de son audition devant une commission du Sénat.

     

     

     

    1/ Deutsche Bank : 55 600 milliards
    2/ BNP Paribas : 48 300 milliards
    3/ Barclays : 47 900 milliards
    8/ La Société générale : 19 200 milliards
    9/ Le Crédit agricole : 16 800 milliards

     

     

     

     

     

    Après un brusque coup de fièvre la semaine dernière, les taux interbancaires chinois --auxquels les établissements financiers se prêtent quotidiennement de l'argent entre eux--, ont poursuivi leur flambée lundi.

     

     

     

    Référence du marché, le taux de refinancement à sept jours a grimpé jusqu'à 9,8%, un sommet depuis la sévère pénurie de liquidités survenue en juin, et un net bond par rapport au niveau de 8,2% atteint vendredi, selon des chiffres de Dow Jones Newswires.

     

     

     

    "Cette nouvelle envolée des taux montre que la défiance des marchés aggrave le resserrement de la liquidité", les banques rechignant de plus en plus à se prêter de l'argent entre elles, a expliqué Wendy Chen, analyste de Nomura Securities basée à Shanghai.

     

     

     

    A l'origine des tensions des derniers jours, un énième coup de vis des autorités: soucieuse d'enrayer l'accroissement persistant du crédit dans le pays, la Banque populaire de Chine (PBOC) a suspendu sur les deux premières semaines de décembre ses opérations de marchés régulières visant à injecter de nouvelles liquidités.

     

     

     

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